Au Japon, une invention pour le moins inattendue fait sourire autant qu’elle interroge. Un jeune étudiant, Hiroki Aizawa, a imaginé un soutien-gorge capable de s’ouvrir uniquement grâce à la reconnaissance de l’empreinte digitale du petit ami. Un concept insolite qui a rapidement attiré l’attention sur les réseaux sociaux.
Pour donner vie à cette idée, l’étudiant s’est appuyé sur l’expertise technique de l’entreprise Zawa Works. Ensemble, ils ont remplacé les traditionnelles agrafes par un système biométrique capable de reconnaître une seule empreinte préenregistrée. Le principe est simple : sans la bonne empreinte, impossible d’ouvrir le sous-vêtement.

Même si le projet repose largement sur l’humour et le second degré, il a été pris très au sérieux par une partie du public. Certains y voient une innovation amusante, d’autres dénoncent une idée jugée maladroite, voire problématique, dans la manière dont elle représente la femme et la notion de contrôle dans le couple.
Qu’il s’agisse d’un gadget expérimental ou d’un simple coup de buzz, l’invention a rempli son objectif : faire parler d’elle. Peu probable de la voir débarquer dans les boutiques, mais suffisante pour relancer le débat sur l’usage parfois inattendu des technologies biométriques dans le quotidien.











